canclaux
30.9.03
Mésadapté du travail ? : Insomnies Chroniques - 29/09
À la sortie du groupe, j'ouvre la porte de mon bureau, lui fais signe de s'asseoir et lui demande ce qui se passe. Ce sont des universitaires me dit-il, et des immigrants, ils ne savent pas ce que c'est que de chercher un emploi. Moi par contre, je n'ai fait que ça toute ma vie...
À la sortie du groupe, j'ouvre la porte de mon bureau, lui fais signe de s'asseoir et lui demande ce qui se passe. Ce sont des universitaires me dit-il, et des immigrants, ils ne savent pas ce que c'est que de chercher un emploi. Moi par contre, je n'ai fait que ça toute ma vie...
H: 20:05
29.9.03
Empire rising : satire de David Horsey sur les patriciens américains
via douze lunes
The Birth of the First American Empire : Guy Sorman traduit par Cindirella Bloggerfeller - 15/09
via douze lunes
The Birth of the First American Empire : Guy Sorman traduit par Cindirella Bloggerfeller - 15/09
H: 13:50
27.9.03
Why do I write this 'blog? : David Madore's WebLog - 21/09
D'une façon ou d'une autre - ne riez pas - 'blogger m'en semble une sorte d'ersatz. Je ne peux certes pas faire une copie de sauvegarde de ma vie en sécurité, mais au moins je peux sauver certains de mes mèmes, en les propageant dans le cerveau d'autres personnes. Vous, par exemple. Et je me sens en effet, après avoir écrit certaines des entrées de ce 'blog, comme si j'avais « sauvé » une partie de moi-même.
D'une façon ou d'une autre - ne riez pas - 'blogger m'en semble une sorte d'ersatz. Je ne peux certes pas faire une copie de sauvegarde de ma vie en sécurité, mais au moins je peux sauver certains de mes mèmes, en les propageant dans le cerveau d'autres personnes. Vous, par exemple. Et je me sens en effet, après avoir écrit certaines des entrées de ce 'blog, comme si j'avais « sauvé » une partie de moi-même.
H: 16:36
25.9.03
Les aventures de Lyse Ananas, onzième épisode: CiscoBlog / F. Grossman - 24/09
C'est comme ça que j'avais connu Alain, en sixième, qui se faisait appeler Finck, mais il fallait prononcer Finque, il ne reprit son véritable nom, Finkielkraut, que bien plus tard, il habitait dans le dixième, derrière la gare de l'est et prenait le bus 38 pour venir au lycée. Son père était un petit artisan maroquinier et sa mère qui pourtant avait fait des études d'infirmière en Pologne était femme au foyer et mère juive de son fils unique. Elle avait un accent qui vous faisait tomber amoureux d'elle dès qu'elle ouvrait la bouche.
via Douze Lunes (24/09)
A nos amours, film de Maurice Pialat (1983).
Entretien avec Arlette Langmann, co-scénariste du film (en partie autobiographique) - cndp
Avec les assistants qui devaient modifier sans arrêt le plan de travail, parce que rien ne se passait jamais comme prévu (on ne savait jamais ce qu'on allait tourner le lendemain, soit parce qu'un acteur manquait, soit qu'une autre était malade, qu'un rôle n'était pas encore distribué, ou qu'une scène prévue pour ce jour-là avait été tournée la veille...), on disait à Maurice : « Mais, Maurice, attention, il y a la mort du père à tourner, faut la faire !... »
Et Maurice remettait toujours à plus tard. Jusqu'au jour où il nous a lâché : « Mais le père ne meurt plus ! Il n'y a plus besoin de tourner la scène. »
C'est comme ça que j'avais connu Alain, en sixième, qui se faisait appeler Finck, mais il fallait prononcer Finque, il ne reprit son véritable nom, Finkielkraut, que bien plus tard, il habitait dans le dixième, derrière la gare de l'est et prenait le bus 38 pour venir au lycée. Son père était un petit artisan maroquinier et sa mère qui pourtant avait fait des études d'infirmière en Pologne était femme au foyer et mère juive de son fils unique. Elle avait un accent qui vous faisait tomber amoureux d'elle dès qu'elle ouvrait la bouche.
via Douze Lunes (24/09)
A nos amours, film de Maurice Pialat (1983).
Entretien avec Arlette Langmann, co-scénariste du film (en partie autobiographique) - cndp
Avec les assistants qui devaient modifier sans arrêt le plan de travail, parce que rien ne se passait jamais comme prévu (on ne savait jamais ce qu'on allait tourner le lendemain, soit parce qu'un acteur manquait, soit qu'une autre était malade, qu'un rôle n'était pas encore distribué, ou qu'une scène prévue pour ce jour-là avait été tournée la veille...), on disait à Maurice : « Mais, Maurice, attention, il y a la mort du père à tourner, faut la faire !... »
Et Maurice remettait toujours à plus tard. Jusqu'au jour où il nous a lâché : « Mais le père ne meurt plus ! Il n'y a plus besoin de tourner la scène. »
H: 01:10
Journal de Jérôme Attal - chapitre 28 - 22/09
[...] le quartier Saint-Lazare qui fut le quartier de son adolescence et où il m'emmenait voir un film de James Bond ou de Walt Disney et les jets d'eaux du Grand Rex, et le Wimpy ce premier fast food jaune et or, et le passage du Havre avec ces magasins de jouets de collection, de chemins de fer miniature, les chaussures Bally, si je creuse bien je pourrais retrouver l'ordre exact, l'agencement des boutiques de cet ancien passage du Havre qui me faisait l'effet d'une grotte fabuleuse ;
[...] le quartier Saint-Lazare qui fut le quartier de son adolescence et où il m'emmenait voir un film de James Bond ou de Walt Disney et les jets d'eaux du Grand Rex, et le Wimpy ce premier fast food jaune et or, et le passage du Havre avec ces magasins de jouets de collection, de chemins de fer miniature, les chaussures Bally, si je creuse bien je pourrais retrouver l'ordre exact, l'agencement des boutiques de cet ancien passage du Havre qui me faisait l'effet d'une grotte fabuleuse ;
H: 01:02
Portrait de Marie-Josée Croze, comédienne québécoise : Libération / P. Nivelle - 24/09
La maladie a laissé un répit, le temps du tournage. Marie-Josée se souvient de l'avoir choisie cette mère, à l'âge de 3 ans. Sa mère biologique, trop jeune, trop seule, l'avait «donnée» en adoption. Marie-Josée a promené ses yeux bleus et son sourire de famille en famille, jusqu'au jour où... «J'ai dit maman, délibérément. C'est eux que j'avais choisis. Ça a marché, elle a craqué.»
La maladie a laissé un répit, le temps du tournage. Marie-Josée se souvient de l'avoir choisie cette mère, à l'âge de 3 ans. Sa mère biologique, trop jeune, trop seule, l'avait «donnée» en adoption. Marie-Josée a promené ses yeux bleus et son sourire de famille en famille, jusqu'au jour où... «J'ai dit maman, délibérément. C'est eux que j'avais choisis. Ça a marché, elle a craqué.»
H: 00:58
23.9.03
L'invention du mâle - le monde pareil (2/6) : le phylum du flocon rose / neige - 21/09
Pour compléter la précédente allégorie, l'expulsion du paradis ne doit pas avoir été prononcée pour avoir mangé le fruit défendu de l'arbre de la science du bien et du mal, elle a dû être prononcée quasi automatiquement à la première apparition du sexe masculin sur la terre.
Pour compléter la précédente allégorie, l'expulsion du paradis ne doit pas avoir été prononcée pour avoir mangé le fruit défendu de l'arbre de la science du bien et du mal, elle a dû être prononcée quasi automatiquement à la première apparition du sexe masculin sur la terre.
H: 02:42
Busy, Busy, Busy : E. Beard
Reader's Digest des éditorialistes d'outre-Atlantique.
Reader's Digest des éditorialistes d'outre-Atlantique.
H: 02:10
Une étrange espionne : Grosse Fatigue - 17/09
J'ai même l'impression que la décoration, c'est presque fait pour ça, pour glisser de l'intérieur, pour que l'extérieur du monde devienne moins palpable, résonnant à distance mais d'un bruit sourd.
J'ai même l'impression que la décoration, c'est presque fait pour ça, pour glisser de l'intérieur, pour que l'extérieur du monde devienne moins palpable, résonnant à distance mais d'un bruit sourd.
H: 00:50
17.9.03
Les brèves de René : weblog (actualité, histoire, littérature, ...)
sur livresdeguerre.net
via le journal de Jane Sweet
sur livresdeguerre.net
via le journal de Jane Sweet
H: 23:47
15.9.03
Reflets d'une ville : Apartés uchroniques - Fabrice - 14/09
Lyon n'est pas une ville de gratte-ciel, loin s'en faut. Elle possède pourtant un quartier d'affaires avec quelques bâtiments de verre, construits dans les années 70-80. Béton sale, métal oxydé, verre anti-reflets fatigués, quelques végétaux essayent d'animer les dalles vides...
"Lyon" Gallery : The Mittens Brigade - Rémi
photos
Lyon n'est pas une ville de gratte-ciel, loin s'en faut. Elle possède pourtant un quartier d'affaires avec quelques bâtiments de verre, construits dans les années 70-80. Béton sale, métal oxydé, verre anti-reflets fatigués, quelques végétaux essayent d'animer les dalles vides...
"Lyon" Gallery : The Mittens Brigade - Rémi
photos
H: 01:40
Sortir du placard : Padawan.info - François Nonnenmacher - 14/09
La seconde fois, un an après, lorsque mes parents ont annoncé leur débarquement juste une semaine à l'avance, j'ai senti que si je ne sortais pas du confort imaginaire de mon placard mon homme n'hésiterait pas à en dégonder les portes. Je leur ai écrit, à la main, une sortie de plume en quelque sorte. Ils m'ont renvoyé une réponse (en Chronopost !) pour me dire qu'ils ne viendraient pas à la maison mais m'attendraient, moi et moi seul, pendant deux heures à l'aéroport de Nice avant de reprendre un vol vers Marseille. Je n'y suis pas allé.
La seconde fois, un an après, lorsque mes parents ont annoncé leur débarquement juste une semaine à l'avance, j'ai senti que si je ne sortais pas du confort imaginaire de mon placard mon homme n'hésiterait pas à en dégonder les portes. Je leur ai écrit, à la main, une sortie de plume en quelque sorte. Ils m'ont renvoyé une réponse (en Chronopost !) pour me dire qu'ils ne viendraient pas à la maison mais m'attendraient, moi et moi seul, pendant deux heures à l'aéroport de Nice avant de reprendre un vol vers Marseille. Je n'y suis pas allé.
H: 01:32
Rencontres du premier type : Bebedjia - Thomas - 14/09
Que se passe-t-il quand on rencontre « pour de vrai » des personnes « côtoyées » seulement à distance, parfois étroitement, parfois sur le mode de l'échange ou encore à sens unique (je vous lis...) ? Rien d'extraordinaire, et c'est tant mieux !
Sans mots : Alter et Ego - l'Idéaliste - 13/09
Jamais je n'avais autant attendu un évènement. Je m'y préparais depuis des semaines, afin d'être prêt le jour venu. J'en avais rêvé, j'avais tenté de l'imaginer sans vraiment y parvenir. Et surtout, je fondais beaucoup d'espoir sur ce qui devait être un moment de bonheur.
Que se passe-t-il quand on rencontre « pour de vrai » des personnes « côtoyées » seulement à distance, parfois étroitement, parfois sur le mode de l'échange ou encore à sens unique (je vous lis...) ? Rien d'extraordinaire, et c'est tant mieux !
Sans mots : Alter et Ego - l'Idéaliste - 13/09
Jamais je n'avais autant attendu un évènement. Je m'y préparais depuis des semaines, afin d'être prêt le jour venu. J'en avais rêvé, j'avais tenté de l'imaginer sans vraiment y parvenir. Et surtout, je fondais beaucoup d'espoir sur ce qui devait être un moment de bonheur.
H: 01:27
14.9.03
Il y a 60 ans... Nantes sous les bombes (Nantes.fr)
Enfin, l'un des derniers groupes de l'escadrille manque également son objectif et libère toute sa cargaison de bombe sur le centre de Nantes. [...]
1 463 victimes et 2 500 blessés sont dénombrés. 700 maisons et immeubles sont détruits et près de 3 000 inhabitables. On estime entre 1 000 et 1 500 le nombre de bombes larguées sur Nantes au cours des trois raids aériens.
Enfin, l'un des derniers groupes de l'escadrille manque également son objectif et libère toute sa cargaison de bombe sur le centre de Nantes. [...]
1 463 victimes et 2 500 blessés sont dénombrés. 700 maisons et immeubles sont détruits et près de 3 000 inhabitables. On estime entre 1 000 et 1 500 le nombre de bombes larguées sur Nantes au cours des trois raids aériens.
H: 19:44
13.9.03
deuxplusquatre : journal familial / Brigitte
voir Conversation (12/09) - la voix de la Sagesse (1/09)
via liste de blogs
archives : les États d'âme de Brume - interview (2000)
voir Conversation (12/09) - la voix de la Sagesse (1/09)
via liste de blogs
archives : les États d'âme de Brume - interview (2000)
H: 03:01
11.9.03
Rapport d'inactivité Eté 2003 : Dominique A. - CCV
[...] l'imbitable, oui, imbitable, " Still loving you ", que je reprenais jadis en balance avec mes amis musiciens, avec ce jouissif break (" tin-ton-tin ") sur les refrains, il y avait " Eye of the tiger " également, du groupe Survivor, qui était très agréable à jouer, Olivier Mellano étant particulièrement doué pour reproduire les riffs et les triolets hard, et surtout, " il a le son ", donc Hervé Picart avec un " t ", mon prof de français-latin, écrivait dans Best sur Scorpions, entre autres, comme sur tous les groupes hard en général, il les chérissait, c'était le spécialiste à Best, [...]
Les Hollywood Party de Montbéliard : still alive
Rêve le plus fou: Remonter le temps pour jouer de la basse à un Allosaurus
(Vincent, bassiste)
woua putain comment c'est de la bombe ce que vous faites! enfin je trouve des mecs qui on les couilles de faire du vrai rock et pas un espece de neo mescouilles....!!! je vous adore!!!!
(Clément in Guestbook)
[...] l'imbitable, oui, imbitable, " Still loving you ", que je reprenais jadis en balance avec mes amis musiciens, avec ce jouissif break (" tin-ton-tin ") sur les refrains, il y avait " Eye of the tiger " également, du groupe Survivor, qui était très agréable à jouer, Olivier Mellano étant particulièrement doué pour reproduire les riffs et les triolets hard, et surtout, " il a le son ", donc Hervé Picart avec un " t ", mon prof de français-latin, écrivait dans Best sur Scorpions, entre autres, comme sur tous les groupes hard en général, il les chérissait, c'était le spécialiste à Best, [...]
Les Hollywood Party de Montbéliard : still alive
Rêve le plus fou: Remonter le temps pour jouer de la basse à un Allosaurus
(Vincent, bassiste)
woua putain comment c'est de la bombe ce que vous faites! enfin je trouve des mecs qui on les couilles de faire du vrai rock et pas un espece de neo mescouilles....!!! je vous adore!!!!
(Clément in Guestbook)
H: 20:16
Gentil métro : Petite semaine.net / Marvin - 11/09
H: 19:55
le vin de la jeunesse : perdu d'avance / J. Laperruque - 8/09
H: 19:50
9.9.03
Processing Processing : Ftrain.com - Paul Ford - 2/09
Essai sur les langages de création, la forme du Web et les abstractions élégantes (ardu ;-)
Is the browser the right way to navigate the web? It's okay for viewing HTML pages, but I'd much rather have a smart database/spreadsheet that let me search the web and my local files, and popped up a browser when I wanted one. [...]
The equivalent in interface abstraction of a windowing interface has not yet come to this space. When you look at your information architecture books, and your how-to-build-web-sites books about 15 years from now, they'll seem as relevant and ridiculous as a manual for an Epson dot-matrix printer in these days of PostScript.
via padawan.info - 8/09
Essai sur les langages de création, la forme du Web et les abstractions élégantes (ardu ;-)
Is the browser the right way to navigate the web? It's okay for viewing HTML pages, but I'd much rather have a smart database/spreadsheet that let me search the web and my local files, and popped up a browser when I wanted one. [...]
The equivalent in interface abstraction of a windowing interface has not yet come to this space. When you look at your information architecture books, and your how-to-build-web-sites books about 15 years from now, they'll seem as relevant and ridiculous as a manual for an Epson dot-matrix printer in these days of PostScript.
via padawan.info - 8/09
H: 20:37
Une mort très douce : Coureuse de Caleçons - Maïa M. - 8/09
H: 14:21
7.9.03
Les Livres meurent debout : interview de Régis Jauffret, après la sortie d'Univers univers - Libération - 4/09
C'est plutôt l'idée que les livres ne se couchent pas pour mourir, n'agonisent pas et ne pleurent pas sur leur sort. Il y a deux choses dont j'ai horreur. D'une part, la soumission : trop d'écrivains sont à genoux devant une certaine forme. Il y a dans leur texte une espérance, l'espérance du cinéma. Ils soumettent la littérature à un autre genre. C'est curieux. Ce n'est pas digne.
via un rêve de Phébus (7/09)
C'est plutôt l'idée que les livres ne se couchent pas pour mourir, n'agonisent pas et ne pleurent pas sur leur sort. Il y a deux choses dont j'ai horreur. D'une part, la soumission : trop d'écrivains sont à genoux devant une certaine forme. Il y a dans leur texte une espérance, l'espérance du cinéma. Ils soumettent la littérature à un autre genre. C'est curieux. Ce n'est pas digne.
via un rêve de Phébus (7/09)
H: 22:30
5.9.03
incoherent thoughts : blog bilingue de Sandrine Alexie, entre Paris et le Kurdistan
L'Irak est un jeu de Go où les Américains tentent de le faire basculer tout entier dans les camp des blancs (la stabilité) et où d'autres font tout pour que les noirs l'emportent (la désagrégation). Et les pions à manipuler, ce sont les Irakiens. Depuis la Bosnie, on aurait pu comprendre que faire de l'humanitaire sur un terrain de guerre, c'est tamponner d'éosine une gangrène crépitante.
le 30/08
via Sale Bête - 4/09
L'Irak est un jeu de Go où les Américains tentent de le faire basculer tout entier dans les camp des blancs (la stabilité) et où d'autres font tout pour que les noirs l'emportent (la désagrégation). Et les pions à manipuler, ce sont les Irakiens. Depuis la Bosnie, on aurait pu comprendre que faire de l'humanitaire sur un terrain de guerre, c'est tamponner d'éosine une gangrène crépitante.
le 30/08
via Sale Bête - 4/09
H: 15:24
Philippe Dumez présente un album de sa vie : le petit poucet - 1/09
Je lui explique que c'est le premier disque que j'ai jamais écouté, il comprend que je ne l'ai jamais écouté, et la conversation part sur un malentendu. Je décide de parler plus fort. Je le lui tends pour qu'il me le signe, il a l'air surpris de le revoir, l'observe un moment, et me glisse : « Tu sais, j'en ai fait des meilleurs depuis ! » Trop occupé à trouver un feutre pour le dédicacer, il ne voit pas que de la tête, je lui fais signe que non.
chez The Lazy Sunbather
Je lui explique que c'est le premier disque que j'ai jamais écouté, il comprend que je ne l'ai jamais écouté, et la conversation part sur un malentendu. Je décide de parler plus fort. Je le lui tends pour qu'il me le signe, il a l'air surpris de le revoir, l'observe un moment, et me glisse : « Tu sais, j'en ai fait des meilleurs depuis ! » Trop occupé à trouver un feutre pour le dédicacer, il ne voit pas que de la tête, je lui fais signe que non.
chez The Lazy Sunbather
H: 15:11
4.9.03
Google wish (2) : tranche(s) de cake - princesse klopobek - 28/08
Le "google wish" est, je le rappelle, la réponse à une recherche google effectuée par quelqu'un pour arriver ici; aujourd'hui je vais tenter de répondre à la personne qui se demandait récemment "Que font les calamars lorsqu'ils sont amoureux".
Le "google wish" est, je le rappelle, la réponse à une recherche google effectuée par quelqu'un pour arriver ici; aujourd'hui je vais tenter de répondre à la personne qui se demandait récemment "Que font les calamars lorsqu'ils sont amoureux".
H: 03:04
3.9.03
«Avec ma femme, on s'est dit au revoir» : Libération - 3/09
L'écrivain Serge Rezvani habite au coeur du massif incendié.
[...] établi dans un petit paradis à La Garde-Freinet avait écrit Feu en 1978, roman où il imaginait un incendie qui allait effectivement se produire un peu plus tard. Le week-end dernier, il est revenu précipitamment de Paris, où il oeuvre à la Comédie-Française, car il pressentait quelque chose de terrible sur ses sept hectares. «Je savais que ça viendrait, car la forêt était "sale"», c'est-à-dire pleine de bois mort, d'arbres tombés.
L'écrivain Serge Rezvani habite au coeur du massif incendié.
[...] établi dans un petit paradis à La Garde-Freinet avait écrit Feu en 1978, roman où il imaginait un incendie qui allait effectivement se produire un peu plus tard. Le week-end dernier, il est revenu précipitamment de Paris, où il oeuvre à la Comédie-Française, car il pressentait quelque chose de terrible sur ses sept hectares. «Je savais que ça viendrait, car la forêt était "sale"», c'est-à-dire pleine de bois mort, d'arbres tombés.
H: 12:25
2.9.03
Destination délire : le LaTourEx - Laboratoire de Tourisme Expérimental - le Nouvel Obs. - 14/08
Il pense à un «patatatour», circuit passant par tous les pays ayant donné leur nom à une pomme de terre (cela va de Noirmoutier à l'Alaska), ou au «kif kif tourisme», voyage dans tous les pays au nom en double: Bora Bora...
via Newsflash Actu
Il pense à un «patatatour», circuit passant par tous les pays ayant donné leur nom à une pomme de terre (cela va de Noirmoutier à l'Alaska), ou au «kif kif tourisme», voyage dans tous les pays au nom en double: Bora Bora...
via Newsflash Actu
H: 20:38
un blog-notes à base de concentré d'URL
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